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Actualités de Pleurtuit (Les) [3721]

1928 précisément | Emile GAUDU

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Film amateur | Bretagne
Portraits de monsieur et madame Gaudu. Repas de jour de l'an chez la famille Gaudu. Promenade digestive dans la cour de la maison à Pleurtuit. Portrait de Jeanne Lemarchand. Promenades entre amies aux alentours de la maison à Pleurtuit. Match de championnat de football de Bretagne à Dinard. Emile Gaudu et sa caméra 35 mm dans la cour de la maison à Pleurtuit. Le chien Doggy jouant dans le jardin de la maison à Pleurtuit.

Émile Gaudu (1906-1996) est né à Pleurtuit, en Ille-et-Vilaine. Son père, également prénommé Émile, est médecin dans le village et sa mère est Marie Toussainte Jeanne Journiaux (ils se marient le 9 novembre 1904 à Pleurtuit, Émile François Gaudu docteur en Médecine né à Pleurtuit le 22 septembre 1872 est le fils d’Émile Joseph et de Solon Anne Marie, et Marie Toussainte Jeanne Journiaux est la fille de Jules Antoine et de Marie Françoise Victorine Méhonas).
Il épouse le 1er octobre 1929 Marie-Madeleine Lansquet, née le 8 décembre 1905 dans la maison d'en face. Elle est la fille de Joseph Lansquet, capitaine au long cours et de Joséphine Lebret, ménagère au bourg. Ils vivront 65 ans ensemble dans leur maison située au 37 rue de la Gare à Pleurtuit, puis au 37 rue Brindejoncs des Moulinais, qui était également la maison des parents d’Émile Gaudu.

La découverte du Pathé Baby

À 17 ans, en 1923, Émile Gaudu assiste à la première présentation publique du « Pathé-Baby » par des agents Pathé sur la plage de Dinard. Il demande à son père de lui acheter une caméra 9,5 mm et s'exerce. Il veut devenir opérateur. Pendant ses études de droits (licence), il filme en amateur, mais dans un but évident d'autoformation. Ces films sont diffusés lors de séances de cinéma familiales.
Il réalise des pastiches des films de fictions de l'époque (comme les films de Louis Feuillade), des films d'actualités qui passent à l’époque en avant-programme (par exemple « Courses de chevaux à Dinard »), il fait également de longs gros plans fixes du visage des membres de sa famille, son père le Dr Gaudu, sa grand-mère, des « figures pleurtuisiennes » (tante Jeanne), et surtout il s’« auto-filme ».

Émile Gaudu, « opérateur » professionnel...

En 1926, son père lui achète une caméra 35 mm « Debrie » type « Parvo Interview » en bois de teck avec un moteur électrique alimenté par des batteries placées au sol dans une caisse en bois avec poignées de transport (elle a intégré les collections de la Cinémathèque de Bretagne).
En 1927, il réalise un premier film professionnel « Saint-Malo, l'antique cité des corsaires » (visite de la ville et départ des terre-neuvas). Le film est diffusé en salles par la société Lutetia à Paris. Son exploitation sera interrompue par l'arrivée du parlant.

Au début des années 1930, Émile Gaudu fait un stage d'un an aux studios de la U.F.A. en Allemagne en tant que « Bildmeister » (chef-opérateur). Il revient en France et travaille comme reporter d'images pour les journaux d'actualités (Pathé, Gaumont...). Son surnom dans la profession est « Saint-Malo ». Très athlétique, il est renommé pour être capable de monter avec sa caméra dans les huniers des bateaux. Il filme d'innombrables pardons de terre-neuvas et de lancements de bateaux.

En 1933, Pierre Guerlais l'embauche comme directeur de la photographie pour sa version de « Pêcheur d'Islande », son nom figurant au générique de ce long-métrage : « En raison des dangers que présentent les prises de vues en mer par mauvais temps, Pierre Guerlais a engagé un opérateur spécialisé dans ce genre de travail. C’est un Breton, Émile Gaudu, qui a déjà tourné à maintes reprises en Islande, à Terre-Neuve et au Groenland. C’est lui qui filma la relève du phare d’Armen qui, ainsi qu’on le sait, est presque inabordable. Pour réussir cet exploit, Émile Gaudu fut obligé de se faire attacher au mât d’un navire et les secousses que lui infligèrent les lames furent telles que pendant plusieurs semaines il garda sur son visage l’empreinte du viseur de son appareil. » (« L’Afrique du Nord illustrée », 2 - 12 -1933).

Il s'installe ensuite à Pleurtuit, publie une publicité dans les journaux de cinéma de l'époque en se présentant comme cinéaste indépendant (publicité « Émile Gaudu opère lui-même »). Il est sans doute le seul en France à faire cela hors de Paris.

De 1933 à 1939, il réalise de nombreux documentaires et travaille en tant que chef-opérateur sur des films dont « Le Cantique de la mer » de Jean Gourguet (1934), restauré par les Archives Française du film. La Cinémathèque de Bretagne possède d'ailleurs une photo le montrant filmant avec sa caméra. Il sera également le conseiller technique de deux prêtres qui filmeront entre 1936 et 1939 les terre-neuvas et la vie des pêcheurs dans le but d’améliorer leur condition, en organisant des conférences accompagnées d’un film : le Père Louis-Joseph Lebret (qui fondera en 1941, l’association « Économie et humanisme ») et le Père Yvon.

La guerre - l’enseigne « Art et lumière » - après la guerre

En 1940, les allemands réquisitionnent sa maison. Ils utilisent une partie de ses films pour se faire des séances de cinéma et ceux-ci seront perdus à la fin de la guerre.
En 1943, il revient dans sa maison et ouvre dans son garage une enseigne d’un genre nouveau dans la région : « Art & lumière - La Maison de l’Amateur Cinéaste et Photographe » qui fermera en 1952. L’enseigne est dépositaire du « Comptoir Breton du Cinéma » (située à Chateaubriand) et vend notamment les marques de projecteurs professionnels « Hortson » et « Cineric », du matériel et des produits pour les cinémas et les photographes.
En 1944, il filme Saint-Malo et l'état des communes alentours (les conséquences des bombardements, les soldats encore présents, français, américains et prisonniers allemands, les habitants...) dans les huit jours suivant la Libération (« L'Empreinte de l'Attila », 1945). Pour tourner, il achète une caméra 16 mm type « Ciné Kodak Special ». Émile Gaudu dédie ce film à l'Abbé Descottes, un malouin qu'il connaît bien et dont il réalise des portraits dans les années 1930. Celui-ci empruntera « L'Empreinte de l'Attila » et « Saint-Malo, l'antique cité des corsaires » pour la recherche au Québec de fonds d'aide à la reconstruction de la Cathédrale Saint-Vincent. Les films ne lui seront pas restitués et seront retrouvés en 1992 par la Cinémathèque de Bretagne chez le neveu de l'Abbé Descottes.

En 1945, le patron de la société Lutetia lui commande un film sur Saint-Malo avant et après-guerre : il s’appellera « Saint-Malo ville assassinée ». Émile Gaudu utilise des extraits de son film « Saint-Malo, antique cité des corsaires » (1927) et des rushes restés chez lui. Pour la distribution, Lutetia fait re-monter le film dans un but commercial, certaines séquences sont coupées, son nom est enlevé du générique, alors qu’il était réalisateur et producteur. Une chanson de Louis Gasté, chantée par Line Renaud (« Quand un bateau part »), est rajoutée au film. Émile Gaudu est furieux de cette chanson et des paroles et, surtout, d’avoir été dessaisi de son film en tant qu’auteur sur un sujet qui lui tenait à cœur : les conséquences des bombardements sur Saint-Malo – ville où il avait fait ses études secondaires – et les villages environnants, notamment Pleurtuit détruit à 80 %. En 1992, lors de son interview filmée, les larmes lui viennent aux yeux à l’évocation de cet épisode de sa vie.

En 1946, il réalise un film de commande en 35 mm pour le préfet des Côtes-du-Nord, « Vivre » (restauré par les Archives Française du Film) qui est une « publicité » pour les sanatoriums du département « où il y a du bon air » et qui participent au dépistage de la tuberculose. Il réalise des films sur sa commune en 16 mm (« Qu'il est beau mon village » en 1951 notamment) ou pour des amis.

En 1957, il est cameraman supplémentaire sur « Les Vikings » de Richard Fleischer dont quelques scènes ont été tournées à Fort La Latte.

Le cinéma « L’Aiglon »

En 1948, il crée dans son jardin la salle de cinéma de Pleurtuit « L’Aiglon » (environ 100 places) équipée d’un projecteur Hortson 16 mm ; sa femme Madeleine en sera la gérante. L’exploitation durera plus de dix ans, le cinéma fermera en 1960. Les Archives Départementales d'Ille-et-Vilaine conservent la carte de projectionniste d’Émile Gaudu avec sa photographie.
Au cinéma « L’Aiglon » étaient projetés des films distribués à l’époque par des sociétés classiques de distribution (« Universal »...) et Émile Gaudu animait les séances. La Cinémathèque de Bretagne conserve un lot d’affiches-programmes qui témoignent de ses programmations.

Émile Gaudu, cinéaste et auteur ?

Émile Gaudu a filmé toute sa vie, mais il s’est toujours défini comme un « opérateur » et non comme un cinéaste.
Sa propriété familiale fut transformée en « complexe cinématographique » : le jardin et la cour (particulièrement la façade de sa maison d’où descendait un escalier propice à de nombreuses mises en scène) étaient un véritable studio de cinéma en plein air pour ses « Actualités », le garage abritait son enseigne « Art et lumière » et il construisit dans son jardin une salle de cinéma.

Comédien né, il apparait dans nombre de ses films datant de 1925 à 1928, de courts films familiaux bien sûr (balades, visite à des amis, copains en permission...), mais également des saynètes. S’il semble écrire ces films surtout pour lui-même – Il est costumé en détective, en gangster, en mendiante... –, il entraine joyeusement sa famille avec lui : son père, médecin et sa mère, sa femme, ses copains, les amis de la famille... Il adore également se filmer avec sa caméra sur pied, ce qui donne des autoportraits en gros plan où il rit et fait le pitre maquillé comme les acteurs du muet. Nous pouvons considérer que ses séquences sont une (sa) signature. Ces miscellanées constituent les « Actualités pleurtuisiennes » qu’il réalise lorsqu’il a entre 19 et 22 ans.

Il est probable que beaucoup de ses films ont été perdu (certains donnés ou prêtés, d’autres disparus pendant la guerre...). Nous connaissons, pour l’instant, très peu le travail qu’il aurait fait pour les sociétés Gaumont, Pathé et Eclair.

Les dernières années

Sur un contact pris, il refuse tout d’abord de se laisser interviewer puis finalement accepte : en 1989 et 1991, 2 h 30 d’images seront enregistrées par la Cinémathèque de Bretagne.
En 1994, il est nommé membre d'honneur de la Cinémathèque de Bretagne. Trois réalisateurs professionnels veulent chacun faire un film sur lui, il refuse.
Sa femme Marie-Madeleine était à ses côtés une personnalité marquante, elle a écrit plusieurs livres (roman, livres pour enfants et de nombreux recueils de poésie (1). Elle meurt le 21 février 1994 à Dinard. Émile Gaudu meurt à Pleurtuit, à 89 ans, le 31 janvier 1996.
Émile Gaudu a été le premier cinéaste breton travaillant en Bretagne. Sa carrière n'a pas manqué d'originalité.



(1) Marie Madeleine Gaudu a écrit sous le nom de Madeleine Gaudu-Lansquet ou de Lansquet des livres et publié de la poésie et des ouvrages pour enfants : « La Tâche originelle » (1936, Ed. Raoul Saillard), « Matilda, fille du Nyassaland », récit sur un témoignage du Père Party (1964, Alsatia Paris), « Il était un petit corsaire » (1964, P.A.F.), « Petite suite pour un passereau » (1965, P.A.F.), « Figure de proue » (1967), « Dansons la capucine » (1971, Maison rhodanienne de poésie), « L’Oiseau et la mort » (1974, Maison rhodanienne de poésie), « Matilda-Thalie de Modènes » (1976, Hachette, Bibliothèque rose)...


tc intc outduréedescriptionmots clés
12:12:52:0012:13:07:0000:00:15:00Insert titre : Les actualités de Pleurtuit. Série 1928 N°2. Photographies Emile Gaudu. PR sur un homme, il regarde la caméra puis sourie.  
12:13:07:0112:13:32:0800:00:25:07Insert titre : Le jour de l'an à la maison. "Papa" Uséo et Marie. PR sur un homme devant une maison, fumant le cigare. PR sur une femme aux cheveux courts, elle sourit à la caméra. (images roses)Cigare , Pleurtuit (35)
12:13:32:0912:14:31:0900:00:59:00Insert titre : A table... l'hymne des mâchoires ! PR sur une femme (la mère de Gaudu à vérifier) à table, les mains croisées, elle regarde la caméra, sourit puis porte son verre de vin à la bouche. PR sur un homme à table, portant un chapeau-melon et une serviette autour du cou, il essuie le goulot d'une bouteille avec la paume de sa main. PR sur un homme à moustache avec une serviette autour du cou, il s'essuie la bouche. PR sur une femme corpulente à lunette (la grand-mère de Gaudu à vérifier), elle est debout et boit un verre. PR sur la femme corpulente debout, une main sur une hanche, elle discute, reprend son verre de vin et le renifle. Chapeau , Pleurtuit (35) , Repas de fête , Vin rouge
12:14:31:1012:16:08:0000:01:36:15Insert titre : Un peu d'air ! Tout le monde profite du soleil sur le perron et dans la cour. PE sur le groupe du repas sorti sur le perron, les deux hommes fument le cigare. PE sur le groupe, un jeune homme les rejoint (Gaudu à vérifier) et fume une cigarette en faisant des signes à la caméra. PE sur le groupe, le jeune homme au milieu. PE sur le groupe, la plus jeune femme est assise sur la rambarde du perron. (Images roses). PE sur les femmes descendant les escaliers du perron et rejoignant les deux hommes. PA sur les deux femmes et un des hommes marchant dans l'allée bordant la maison. PA sur les deux hommes puis sur la plus jeune femme accroupie et de nouveau sur les deux hommes. Cigare , Cigarette , Pleurtuit (35)
12:16:08:0112:17:03:1300:00:55:12Insert titre : Production de Février. Les amis du cinéma... Jeanne Lemarchand. PA fixe d'une femme en chapeau, manteau et talons, adossée à la rambarde d'un escalier. Elle fait mine de bailler puis sourit à la caméra. GP d'une femme, les cheveux ramassés, de profil puis de face. Elle parle, roule ses yeux et sourie à la caméra. Chapeau , Pleurtuit (35)
12:17:03:1412:19:09:0000:02:05:11Insert titre : MMmes Lemarchand et Gaudu, et Mlles Jeanne Lemarchand et Riand profitent des pâles rayons du soleil de février. PL sur deux femmes appuyées à la rambarde du perron devant la maison, elles descendent les escaliers et passent devant la caméra. PL dans le chemin longeant la maison, elles réajustent leurs manteaux et passent devant la caméra. Plongée sur trois femmes marchant dans l'allée bordant la maison. PA d'une femme en robe et chapeau blanc appuyée à la rambarde du perron. PR de la femme en blanc. PA des deux jeunes femmes portant des chapeaux et marchant dans l'allée bordant la maison. PL du perron de la maison où une femme est appuyée à la rambarde et deux autres se tenant à la porte d'entrée. Chapeau , Maison individuelle , Pleurtuit (35) , Robe
12:19:09:0112:20:20:0000:01:10:24Insert titre : sport 19.02.28. Le championnat de football de Bretagne COFA Dinard. Drapeau de Fougères contre Dinard amical sporting club. Devant une galerie "record" s'est déroulée cette partie qui toucha souvent à la brutalité. La 1ère mi-temps jeu égal, mais Fougères est plus vite sur la balle. Plusieurs plans successifs du match de football, des actions du match, des actions devant les buts, des actions des goals. En arrière plan, les abords du terrain sont remplis de spectateurs. Ballon , Championnat , Dinard (35) , Football , Match , Terrain de sport
12:20:20:0112:21:18:1800:00:58:17Insert titre : Bousculades, injures, foule hurlante... pour l'arbitre, croche-pieds, hands... telle sera la physionomie du jeu, pendant les 90 minutes. Plusieurs plans successifs du match de football, des actions du match, des actions devant les buts, des actions des goals. En arrière plan, les abords du terrain sont remplis de spectateurs.Ballon , Championnat , Dinard (35) , Football , Match , Terrain de sport
12:21:18:1912:22:26:1900:01:08:00insert titre : La 2ème mi-temps, Dinard est indécis, cependant il y a de belles échappées, et Berthelot sort des "bois". Berthelot, le gardien des bois Fougerais, fut souvent à la tâche... Le caméraman a eu sa part d'injures, parce qu'il "borne" la vue des cochons de payants. Plusieurs plans successifs du match de football, des actions du match, des actions devant les buts, des actions des goal (Berthelot). En arrière plan, les abords du terrain sont remplis de spectateurs.Ballon , Championnat , Dinard (35) , Football , Match , Terrain de sport
12:22:26:2012:23:30:1500:01:03:20Insert titre : Saffanges, goal-keeper de dinard vient d'être blessé, mais...il faut tenir! Plusieurs plans successifs du match de football, des actions du match, des actions devant les buts, des actions des goal (Saffanges). En arrière plan, les abords du terrain sont remplis de spectateurs. GP d'un jeune homme portant une casquette.Ballon , Casquette , Championnat , Dinard (35) , Football , Match , Terrain de sport
12:23:30:1612:23:41:1900:00:11:03Insert titre : Le coup de sifflet final apporta la victoire à Fougères par 4 buts à 0. Plusieurs plans successifs du match de football, des actions du match, des actions devant les buts, des actions des goal. En arrière plan, les abords du terrain sont remplis de spectateurs.Ballon , Championnat , Dinard (35) , Football , Match , Terrain de sport
12:23:41:2012:24:41:0000:00:59:05Insert titre : On tourne !...une prise de vue avec le kinamo dans la cour de la maison. PR d'un homme (Gaudu) de profil, filmant avec sa 35 mm en bois de teck, dans la cour de sa maison, puis de face, il sourie et salue. PR de l'homme de dos filmant une femme sur le perron de la maison. PR de l'homme de face, tenant la caméra debout à côté de lui. Maison individuelle , Pleurtuit (35)
12:24:41:0112:25:47:0000:01:05:24Insert titre : Doggy se fait les muscles dans l'escalier. L'ascension est plutôt pénible, mais il n'a qu'un mois. Plusieurs plans en plongée d'un chiot jouant et courant. GP du chien. Plusieurs plans en plongée du chien courant après sa maîtresse, montant les escaliers du perron, à demi allongé sur le sol du perron. Chien , Pleurtuit (35)

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