1810W15 ; Couffé 5, cassette DVCAM, Anne-Marie et Bernard de la Roche-Macé (Château de la Roche Macé), 25 novembre 2002, durée 20’40’’ 604VM0053

De 01 00 00 00 à 01 20 37 18 : Interview de Bernard et Anne Marie de La Roche Macé , 25 novembre 2002.
Vues sur le château de La Roche Macé, sur le parc, les diverses parties du bâtiment, la véranda et l’avancée (1910), la partie la plus ancienne (XIV-XV, la partie 1830 avec un style Renaissance). Le nom du château vient du nom de La Roche. M de la Roche montre une photographie du château en 1910 avec la véranda, le clocher avec des dentelles de pierre. Les arbres ont été abattus à la Révolution.
Les écoliers visitent l’extérieur avec le couple de La Roche Macé.

Les matériaux utilisés pour la construction ; des murs épais fait de pierre, d’argile et de chaux, du ciment pour les enduits, le tuffeau de Tourraine (région de Saumur), ardoises.

Au dessus de la fenêtre, les armes de la famille La Roche Macé (une croix d’azur).

On visite les bâtiments de l’extérieur ; l’ancienne écurie pour les voitures hippomobiles pour les voitures (à servie de soute à charbon), les anneaux en étain servaient pour retenir les chevaux, la sellerie, la maison du jardinier. Il y a une fleur de lys réalisé dans la toiture en écaille de poissons sur une tourelle cachant un escalier. Il y a une cave en dessous du bâtiment, un grenier au dessus, la cave du jardinier où il mettait son vin, le clocheton du château, la salle prêtée ou louée pour des fêtes, une salle avec une belle charpente, le potager et sa vigne à la Thomery le long d’un mur, le four à pain, la glacière (il n’y avait pas de frigidaire, et cette pièce restait toujours fraîche au Nord, elle servait de garde manger), la grille, la façade côté jardin.

Il y avait autrefois beaucoup de domestiques ; cuisinière, aide cuisinière, femme de chambre, valet de chambre, un jardinier. Puis quand les charges sociales sont arrivées, cela n’a plus été possible. Son père avait un chauffeur qui servait à table et s’occupait de l’argenterie, mais il a du s’en séparer.

François de La Roche a construit un bureau qui a été transformé en vestiaire pour le football.