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    La ville de Brest a programmé des travaux importants de remise aux normes des réserves où sont conservés les fims (supports argentiques et vidéos). Ces travaux nécessaires sont une très bonne nouvelle, mais cela va impliquer le déménagement temporaire des collections films qui commencera dès le mois de septembre. 
     
    A partir de juillet 2025 jusqu’à juin 2026, il ne sera pas possible d’accueillir de nouveaux dépôts de films. En revanche, nous restons à votre disposition pour organiser avec vous votre dépôt en amont de la fin des travaux : vous pouvez d’ores et déjà compléter ce formulaire.
     
    L’antenne de Loire-Atlantique poursuivra la collecte des films du territoire de Loire-Atlantique en partenariat avec les Archives départementales.
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Chroniques de la guerre d'Algérie, Dalila Yamina Brahimi [27378]

Film professionnel
Consistant en 52 DVD sur l’histoire de la guerre de libération nationale (1954-1962), sous le thème «Chronique de la guerre d’Algérie». Ces importants documents renferment des dizaines de témoignages d’acteurs de cette guerre et de personnes ayant vécu cette période, parmi les Algériens et les Français, outre des photos d’archives sur les évènements phares qui ont marqué la Révolution.

Dalila Yamina BRAHIMI-SALAH. Née en 1940. Membre de l’ALN. Algérie, Le Caire, Alger.
Elle baigne dans un milieu nationaliste et en 1955 elle est contactée par un lycéen. Elle transmet des lettres. L’arrestation de son oncle et de son cousin et le traitement qu’ils subissent vont accroître son envie de se battre. Toujours en cette année1955, âgée de 15 ans, on lui demande de poser une bombe dans un café fréquenté par des militaires français. Elle s’enfuit et gagne le maquis. On lui apprend à soigner les blessures. Elle est donc présente lors des accrochages et des embuscades. Son travail est aussi de préparer l’accueil des katibas. La vie dans le maquis est difficile. Longues marches et peu de nourriture. Elle va circuler dans différentes willayas dont la une, celle des Aurès où elle va être blessée en 1960. Elle est évacuée en Tunisie où la peur a du mal à la quitter. Elle rejoint Le Caire où grâce à une bourse du gouvernement égyptien, elle suit une formation d’infirmières à l’issue de laquelle elle reçoit son diplôme des mains de Nasser. Le cessez-le-feu arrive au moment où elle devait repartir avec un convoi pour l’Algérie. Elle reste au Caire et travaille au ministère des Affaires étrangères. Elle regagne l’Algérie et quitte le ministère pour entrer à la mairie de Maison-Blanche dont elle en devient le maire en 1975.

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