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Chant de la terre (Le) [4402]

Film amateur | Bretagne
Photographie de Evelyne Corson et Jo Potier (caméra à la main).
Cartons de générique « Evelyne Corson / Jo-Potier », « vous proposent », « Le chant de la terre », « avec Anjéla-Duval »

Une femme, Anjela Duval est assise à la table de sa cuisine, un châle noir sur les épaules, elle écrit. Sur la table en bois, une radio et de nombreuses feuilles de papier. GP Visage d’Anjela Duval de profil.
Une casserole chauffe sur le feu de cheminée.
GP La main d’Anjela Duval écrit sur un cahier. GP Son chien dort paisiblement. Un commentaire dicte un poème d’Anjela Duval. Un drapeau breton est accroché près du mur et d’une carte géographique ancienne.
Zoom arrière sur les livres de sa bibliothèque, posés les uns sur les autres.
Anjela Duval, de dos, est assise à sa table et écrit, un bouquet de fleurs posé à ses côtés.
Des miches de pain sont entreposées sur une étagère en hauteur.
Anjela Duval retourne une feuille pour poursuivre son écriture.
GP Son chien.
TGP Une feuille manuscrite « Terre bretonne ». Puis « Tu chanteras : alleluia ! » datée du 10 février 1970 et signée Anjela Duval.

Façade extérieure de la maison d’Anjela Duval, présentation de sa maison et d’Anjela Duval par une voix-off.
Photographie en noir et blanc, un portrait d’Anjela Duval jeune fille.
GP Couverture du livre « Anjela Duval » de Roger Laouenan.

PE Sa maison depuis le jardin, ses trois chiens en sortent et courent dans le jardin.

GP Photographies de famille.

Anjela Duval, portant un chapeau en paille, coupe du blé avec une faucille. GP Epis de blé. Carton : « Kan an douar ».

GP Pages de livre rédigé en breton, une photo de musiciens illustre le propos. Une main feuillette le livre.
GP Partition d’un morceau « Bleuvenn Iwe » (tout n'est pas lisible, à vérifier), chanson d’Anjela Duval.

La poétesse marche avec sa vache dans un pré près de sa maison. Ses chiens les accompagnent.
Deux chats sont installés sur la faitière du toit.
Une végétation dense recouvre la façade de la maison.
Anjela Duval, ses deux chiens dans les bras, se promène dans son jardin.
Un troupeau de vaches paît dans un champ.
GP Visage d’Anjela Duval portant ses chiens. GP Plantes.

Dans sa cuisine, Anjela Duval moud du café avec un moulin à café en bois. Une cocotte est sur le feu.

C’est le jour du battage, une moissonneuse batteuse arrive dans la cour de la ferme. Des ouvriers procèdent à son installation. Ils parlent breton. Angela Duval porte un manteau sur les épaules et un bonnet sur la tête. Elle rejoint les paysans venus aider. Les paysans sont au travail, sur la moissonneuse batteuse. Les différentes étapes du travail des moissonneurs se suivent (la machine, les sacs de blé, les gestes des hommes et des femmes). En voix off, Anjela Duval s’exprime sur différents sujets, répondant aux questions d'une femme : « A quoi servent les machines…, je suis fière d'être paysanne…, paysanne : c'est un mode de vie, c'est une vocation…, la terre me parle et je lui réponds…, j'écris surtout pour la terre...". Des hommes portent des sacs de blé à l’intérieur de la maison. GP Une vache.
Anjela Duval rejoint les moissonneurs à la machine. GP Grains de blés dans sa main, qu’elle serre. Une chanson de Gilles Servat couvre les scènes. Une femme passe le balai. Un homme porte un sac de blé sur le dos. Des hommes âgés transportent des bottes de foin d’un point à un autre. GP Le blé passe dans la machine. Voix de Anjela Duval parlant breton sur des GP de paysans au travail. Une femme apporte un verre de vin à chacun. Le blé coupé passe dans la moissonneuse batteuse.

Dans la maison, Angela Duval et une femme regardent la scène en souriant. C’est l’heure du repas de battage : café, tartines beurrées. Tout le monde est autour de la table et parle breton. Un enfant est assis sur les genoux de sa mère. GP Visages. Alternance avec Anjela Duval lisant un texte écrit dans son cahier. Une femme sert le café. GP Visages. Les hommes âgés ont gardé leur béret. Un main donne un sucre au chien. GP Visages. La discussion est en français puis en breton. Les hommes et les femmes rient, semblent contents. Le journal Le Trégor est posé sur une table. Suite du repas : assiette de charcuterie, vin, bouteille de pschitt. Un homme boit dans son bol. GP Visage d'Anjela Duval et des moissonneurs.

PE La maison d’Anjela Duval.

Anjela Duval joue avec ses chiens devant la cheminée. Elle porte l’un de ses chiens dans les bras, lui tapote sur le ventre et sourit. GP Lampe de la cuisine. Anjela Duval écrit sur des feuilles, installée à sa table. GP Sa main tenant son stylo.
GP Une carte géographique. GP Photographie en noir et blanc. GP Son chien.
Anjela Duval est assise à sa table.
GP L’horloge de la maison indique 23h40. Il est tard, Anjela Duval range ses crayons, prend un livre, éteint la lumière et part se reposer.

Le film contient en off des ambiances où les gens parlent en breton et des poèmes d'Anjela Duval en français et en breton.
Jo Potier (3 août 1926 - ) est né à Gausson. Il est fils d'instituteur (Bourbriac).
Il a suivi des cours d'électricité et de radio à l'institut d'électricité de Paris où il obtient son diplôme d'électro-technicien en janvier 1944. Il travaille ensuite à l'arsenal de Brest. Il habite Brest à partir de 1950, dans le quartier de Pen Ar Creac'h, où il a été monteur électricien chez Electro Distribution (Brest) du 2 janvier 1950 au 16 janvier 1984.
Membre du Club des cinéastes amateurs, il pratique d'abord le 8 mm puis le Super 8 pour aborder enfin la vidéo VHS puis Super VHS. Sélectionné lors de nombreux festivals et concours amateurs, il y remportera quelques belles récompenses. Certains de ses films ont également été diffusés à la télévision.

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