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    La ville de Brest a programmé des travaux importants de remise aux normes des réserves où sont conservés les fims (supports argentiques et vidéos). Ces travaux nécessaires sont une très bonne nouvelle, mais cela va impliquer le déménagement temporaire des collections films qui commencera dès le mois de septembre. 
     
    A partir de juillet 2025 jusqu’à juin 2026, il ne sera pas possible d’accueillir de nouveaux dépôts de films. En revanche, nous restons à votre disposition pour organiser avec vous votre dépôt en amont de la fin des travaux : vous pouvez d’ores et déjà compléter ce formulaire.
     
    L’antenne de Loire-Atlantique poursuivra la collecte des films du territoire de Loire-Atlantique en partenariat avec les Archives départementales.
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Chroniques de la guerre d'Algérie, Jacques Simon [27369]

Film professionnel

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Consistant en 52 DVD sur l’histoire de la guerre de libération nationale (1954-1962), sous le thème «Chronique de la guerre d’Algérie». Ces importants documents renferment des dizaines de témoignages d’acteurs de cette guerre et de personnes ayant vécu cette période, parmi les Algériens et les Français, outre des photos d’archives sur les évènements phares qui ont marqué la Révolution.

Jacques SIMON. 68’. Né en 1933. Pied-noir, militant du MNA. Tiaret, Mascara, Alger, Paris, Sidi Bel Abbés, Alger, Paris.
Né à côté de Tiaret dans une famille juive, il subit les lois de Vichy. Sa famille est aidée par les musulmans et par le MTLD. En 1945, il manifeste avec les scouts musulmans. Il fait ses études à Mascara puis à Alger où il rencontre un militant trotskiste qui lui fait découvrir l’internationalisme. Il poursuit ses études de droit et de lettres à Paris et rejoint l’Usta (Union syndicale des travailleurs algériens) dont il organise le congrès en 1957. Il est un des deux survivants des assassinats fomentés fin 1957 par le FLN contre la direction de l’Usta. Appelé pour son service, il décide de rejoindre Bellounis. Il ne réussira pas car le désaccord nait entre ce dernier et le MNA. Il reçoit l’ordre de rejoindre l’armée française. Il vit le 13 mai à Alger en s’occupant de l’état-civil. En voyant les scènes de fraternisation il pense qu’il y a un vrai changement et qu’une Algérie nouvelle est possible. Il passe en jugement pour atteinte à la sureté de l’Etat et est envoyé dans le grand sud où il étudiera Saint-Augustin. Il se marie en 1959 et ne repart pas en Algérie pour cause d’appendicite. Il est affecté à Versailles et se fait une fracture du fémur. Il est libéré en décembre 1961. En 1962, il fait venir ses parents en France.

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