1810W20 : Images de villages, « Couffé, les secrets de son histoire », synthèse des interviews des Coufféens, durée 47 minutes.VHS. 604VM0057
Ecole de Couffé.
Vue aérienne avec l’église
Chanson.
« En route pour l’école » ; Le classement en classe ;, les bons devant, les mauvais au fond.
Les enfants venaient à pied à l’école. L’école publique dans les années trente avait dû fermer car elle n’avait qu’un seul élève. Au retour de l’école, les enfants ramassaient des châtaignes et des champignons.
Carte postale, rivière sous le pont Le Hâvre », Fosse du pont, le pont taillis, vallée du hâvre prise de Bougon, lavandières dans le Hâvre.
Au XVIIIème siècle, la Hâvre servait au transport du charbon.

« Châteaux et châtelains » ;
Les maisons du bourg étaient la propriété du château comme les deux tiers des terres de la commune. A l’église, les châtelains avaient leur place. Couffé étouffe entre ses châteaux. Charrette est né à Couffé. Urbain de Charrette, maire au début du XXème siècle avait fait des études en Italie, est médecin et soignait les habitants de Couffé.

Parmi les domestiques ; un cocher et jardinier (jusqu’en 1940)et sa femme cuisinière. A chaque fois, qu’il y avait une nouvelle recrue au château, les autres s’amusaient à la faire saluer le buste de Charrette.
Le château de la Ville Jégu ; les demoiselles Duplessis y faisaient jouées des pièces de théâtre.
Le château de la Roche-Macé ; construit dès le XIIème siècle. Carte postale du Château. Interviews des propriétaires (Anne-Marie et Bernard de la Rochemacé),. Le château s’est fait sur 6 générations (parenté avec le château de la Ville Jégu, église.

Commerces ; le 8 septembre 1926, l’électricité est installée au bourg. Il y avait alors 8 épiceries (qui vendaient café, huile, sucre).
Photographie ancienne « Au bons produits » et « Guillois épicerie ».
Dans les épiceries on vendait la laine à tricoter pour la layette les chaussettes, les articles pour écoliers.
Extrait de l’interview de Marie-Antoinette Maindon ; son grand-père était tailleur sur mesure et faisait les costumes. (photographie de tailleur).
Cartes postales Couffé place de l’église, ferblanterie Audouin.
Culottes fendues.

« Terres et travaux agricoles » ; la commune connaît 2 remembrements en 1972, et 1978.
Carte postale, rue du bourg.
Photographies ; menuisier et maréchal ferrant.
Couffé est alors un bourg rural avec de petites fermes, avec ses journaliers. Les journaliers faisaient des barrières quand ils ne pouvaient pas sortir. En moyenne, les parcelles faisaient 25 ares. Les fermes du château avaient de grandes parcelles. Les bœufs charruaient. Blé, betteraves, lait, beurre, porcelets, cochon gras.
Hongreur (castreur de chevaux) ; avant les vétérinaires, il faisait aussi le dentiste (arrachait les dents).
« Vins et vendanges » le Noa était un vin éthéré était utilisé en charcuterie. Les hommes aimaient goûter le vin. Photographie d’un alambic.
Pendant les vendanges, il y avait de l’entraide ; 3 semaines, on cassait la croûte au bout du champ.
Images de vendanges.
Chez M de La Roche, quand il y avait les vendanges, il y avait un repas (des vignes sur Oudon
« Foires et comices » ; concours de labour avec deux bœufs et sillon le plus droit possible. Bovins, moutons, cochons, juments poulinières. Fête foraine. Fête au parc de la Contrie près de l’église. Il y avait deux foires par an.
Courses de chevaux, concours de labours, concours de la plus belle pomme de terre, récompense avec des plaques pour les animaux.
En hiver, chant pendant les veillées.
Les conscrits invités au boudin avec un accordéoniste.

« Fêtes et activités religieuses ». Photographies
Pâques, Fête-Dieu (photographie de la préparation et de la procession).
Pendant la guerre, seule la kermesse est tolérée.
Cartes postales ; femmes rosetière, jeunes filles avec des quenouilles, Couffé, grande rue avec des communiants.
Festival de la Saint-Pierre (remonte au XVIIIème siècle) ; les domestiques s’y faisaient gagés.
Carte postale de l’ancienne église.
Venue de groupes folkloriques.
Football.
Harmonie, photographie de l’Harmonie La Conquérante.
Le théâtre au patronage brûle en 1957 (la salle date des années 1933-1934)
Tous les jeudis, le vicaire faisait le catéchisme.
Au théâtre, il n’y avait pas de mixité dans les pièces.
Photographie ancienne du théâtre.
En 1963, arrivée des variétés.

« Les mains Berthe », esprits bienfaisants qui entraient dans les maisons quand on était malade.
Carte postale de la Roche-Sauvée.
A l’école les enfants chantaient.