Kairouan [18042]
1963 précisément | Jean LE BLOCH
Contribuez !Film amateur
Titres « CCAC Quimper », « Jean Le Bloch présente » et « Kairouan ».
Visite de Kairouan "la Sainte".
Défilé à cheval d’hommes armés de fusils. Cimetière avec tombes peintes en blanc. Vue générale des habitations blanches de la ville de Kairouan, ville ancienne avec remparts au premier plan, coupole de la grande mosquée Djamäa Sidi Okba. Médina avec nombreux piétons circulant dans la rue. Portes anciennes de la ville. Rue animée (piétons de tous âges et quelques vélos). Femme voilée. Ruelles. Femme portant un réchaud. Scènes de rues, chameliers, piétons, femmes voilées en noir de la tête aux pieds, femme berbère en tenue traditionnelle portant un bébé dans le dos, hommes protégés du soleil par des foulards (kéfiés), homme déchargeant des tapis transportés sur le dos d’un âne. Femme servant le thé à l’ombre. Femme présentant sa technique pour filer le coton. Femmes travaillant sur des métiers à tisser (haute lisse) dans un atelier de tissage, images montrant la rapidité de leurs gestes de travail. Mosquée du Barbier, hommes et enfants entrant dans une mosquée. Cour intérieure où sont disposés des tapis de prière, détails des motifs des tapis. Palanquin fixé sur le dos d'un chameau. Défilé à cheval de guerriers armés de fusils et précédés d’un groupe de musiciens traditionnels.
Visite de Kairouan "la Sainte".
Défilé à cheval d’hommes armés de fusils. Cimetière avec tombes peintes en blanc. Vue générale des habitations blanches de la ville de Kairouan, ville ancienne avec remparts au premier plan, coupole de la grande mosquée Djamäa Sidi Okba. Médina avec nombreux piétons circulant dans la rue. Portes anciennes de la ville. Rue animée (piétons de tous âges et quelques vélos). Femme voilée. Ruelles. Femme portant un réchaud. Scènes de rues, chameliers, piétons, femmes voilées en noir de la tête aux pieds, femme berbère en tenue traditionnelle portant un bébé dans le dos, hommes protégés du soleil par des foulards (kéfiés), homme déchargeant des tapis transportés sur le dos d’un âne. Femme servant le thé à l’ombre. Femme présentant sa technique pour filer le coton. Femmes travaillant sur des métiers à tisser (haute lisse) dans un atelier de tissage, images montrant la rapidité de leurs gestes de travail. Mosquée du Barbier, hommes et enfants entrant dans une mosquée. Cour intérieure où sont disposés des tapis de prière, détails des motifs des tapis. Palanquin fixé sur le dos d'un chameau. Défilé à cheval de guerriers armés de fusils et précédés d’un groupe de musiciens traditionnels.
Jean Le Bloch (1923 - 23 aout 2016) a 20 ans en juin 1943 quand lui et son ami Henri Le Guennec sont de retour à Quimper après deux ans de préparation au concours de Saint-Cyr. Dès leur arrivée, les deux jeunes hommes sont approchés par Jean Jaouen, organisateur pour le Finistère du réseau de renseignement et d’action Turma-Vengeance.
Dès lors, Jean Le Bloch assure les liaisons en tant qu'agent de liaison entre les réseaux de Douarnenez, Audierne et Quimper de Turma Vengeance. Son ami, Henri Le Guennec, devient responsable du réseau pour le département.
Avec sa famille, il héberge des aviateurs alliés.
En janvier 1944, plusieurs membres du groupe tombent entre les mains de la Gestapo. Jean Le Bloch échappe de peu à une arrestation, mais ne reverra jamais son ami Henri, mort en déportation en Allemagne. La rafle est effectuée au domicile de la famille Le Guennec qui hébergeait trois aviateurs. Trois des membres de la famille meurent en déportation.
En octobre 1944, il est engagé volontaire notamment avec la 6e compagnie FFI de Quimper.
Le résistant était attaché à transmettre son histoire aux jeunes. Il était Chevalier de la légion d'Honneur et avait la Médaille de la résistance.
Il était membre du Caméra-Club de Quimper.
Dès lors, Jean Le Bloch assure les liaisons en tant qu'agent de liaison entre les réseaux de Douarnenez, Audierne et Quimper de Turma Vengeance. Son ami, Henri Le Guennec, devient responsable du réseau pour le département.
Avec sa famille, il héberge des aviateurs alliés.
En janvier 1944, plusieurs membres du groupe tombent entre les mains de la Gestapo. Jean Le Bloch échappe de peu à une arrestation, mais ne reverra jamais son ami Henri, mort en déportation en Allemagne. La rafle est effectuée au domicile de la famille Le Guennec qui hébergeait trois aviateurs. Trois des membres de la famille meurent en déportation.
En octobre 1944, il est engagé volontaire notamment avec la 6e compagnie FFI de Quimper.
Le résistant était attaché à transmettre son histoire aux jeunes. Il était Chevalier de la légion d'Honneur et avait la Médaille de la résistance.
Il était membre du Caméra-Club de Quimper.
