2 Cv à Pors-Poulhan, entretien par Ariel Nathan de Marie-Jeanne Mao dans son salon à Lézavrec. 1er décembre 1998.

Panorama sur la sculpture la bigoudène du sculpteur Quillivic. 2 CV à Pors Poulhan.
Au port de Pors Poulhan, les adultes parlent des enfants qui apparaissent dans le film de Gessain, de Solange Petit (qui a épousé un ambassadeur) chercheuse et qui enquêtait sur les pêcheurs de Pors Poulhan.

À partir de 16’09’’ : chez Marie-Jeanne Mao à Levrazec à Plozévet. Le journal avec article « Plozévet 30 ans après ». Goûter avec café et crêpes. Elle parle d’Edgar Morin qui trempait ses crêpes dans le café (il faisait « choupic » comme disait le père de Marie-Jeanne Mao). Elle pense que Edgar Morin est trop attaqué. Les films dévoilaient un peu de la vie privée des gens mais sans méchanceté. Les enfants ne mettaient pas de coiffes à l’école de son temps sauf le jour où l’on prenait la photographie. Il y a une différence entre les gens de la campagne qui parlaient breton au catéchisme, et les gens du bourg qui parlaient français au catéchisme.
Sur son quartier, les chercheurs allaient chez « Tante » Thérèse. Elle évoque Alain Kourganoff, donatien Laurent, M et Mme Gessain et la sœur de Mme Gessain, Mlle Lucienne Pee Laborde (épouse Jakobi). Les Kourganof habitaient une maison au bourg près de l’école.
Pendant les réunions, il y avait distribution d’imprimés par Mlle Pee Laborde (pour la généalogie).
À l’école, les empreintes des enfants étaient prises, agrémentés d’examens médicaux, d’analyse respiratoire. Ces études ont montré à Mme Mao qu’elle avait trop de cholestérol.
Marie-Jeanne Mao est une ancienne institutrice à Plozévet. Elle parle de son parcours entre Maine et Loire et Finistère.