Film pédagogique sous la forme d'une petite fiction qui montre qu'il vaut mieux, pour une entreprise, disposer d'un capital propre pour se développer que de tout miser sur les emprunts.
Une femme vend des glaces au milieu d'une clairière. Elle fait les comptes de la fin de la saison et prévoit des futurs investissements grâce à ses revenus.
En face, un homme clame qu'il va bâtir une usine moderne à partir de rien du tout mais d'une idée seulement, qu'il a calculé son coût. Il précise qu'il est menuisier et qu'on gagne plus d'argent à poser des fenêtres qu'à les fabriquer, il va donc fabriquer et poser des fenêtres.
Vues variées sur les fenêtres d'immeubles, de maisons (immeubles de la rue de Quimper à Brest).
Une jeune femme figurant la banque vient lui prêter de l'argent, elle porte une valise pleine d'argent.
Des menuisiers posent des fenêtres sur un immeuble en bas duquel une femme vend des marrons.
L'homme est installé à un bureau au milieu d'une clairière, il répond au téléphone et sort des billets de banque de son bureau. Des hommes viennent lui retirer son matériel, puis lui couper sa ligne téléphonique. Il est ruiné.
Le femme elle, continue de prévoir des investissements : elle veut monter un snack.