Henri Serin, représentant en parapluies, mène une vie morne, mais a deux passions : la peinture et les beautés callipyges. Il rencontre un jour une superbe Canadienne pour laquelle il abandonne sa famille. Au terme de quelques jours passionnés, elle le quitte. Il échoue alors à Pont-Aven où il noie son chagrin dans l'alcool. La gentillesse et la beauté de Marie lui redonnent goût à la vie et il décide de s'installer à Pont-Aven pour y vendre des galettes.