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Joyeux compagnons (Les) rushes10 [35979]

2006 précisément | Xavier LIÉBARD

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Film professionnel | Bretagne

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Rushes du film "Les joyeux compagnons" non utilisés.

La première partie (jusqu'à 1 minutes) concerne deux dames vues de dos (Jacqueline Boisdé-Liébard et une autre dame âgée) numérisant des photographies anciennes d'une de leur parente (Marguerite Prod’homme (1908-2000). Les deux dames apprennent à utiliser un logiciel de numérisation de photographies. Jacqueline Boisdé-Liébard et la dame âgée sont prises de dos devant un bureau.

La seconde partie (de 1’05’’ à 28’30’’) concerne un entretien entre Xavier Liébard qui interroge sa mère, Jacqueline Boisdé-Liébard (1929-2009) dans sa cuisine.

Jacqueline Liébard écrit des textes qu’elle nomme ses « chroniques » : ce sont des zooms sur des jours ordinaires dans lesquels elle capte un moment (ses joies, ses peines, son comique) et les émotions. Elle lit un premier texte intitulé « chronique », son dernier écrit autour de sa bronchite devenue chronique.

Au départ du projet, Jacqueline Liébard avait refusée d’être filmée. Elle s’interroger sur cette pratique : allait-elle être naturelle ? Quand on joue au théâtre, on se met dans la peau d’une autre personne. Mais comme elle adore les aventures, elle a décidé de le faire.

Elle parle sans détours de la vieillesse, douloureuse, une punition « imméritée », un monde dans lequel les possibilités se restreignent. La vieillesse « c’est moche ». On a l’avantage de la retraite, du temps libre, du choix de ses loisirs, on est plus sûr de soi et moins sur de tout. Pour elle l’espace se rétréci jusqu’à la petite boîte qui vous enferme. Elle parle des difficultés physiques, le chant qu’elle ne peut pratiquer comme autrefois.

Tant que l’on reste curieux, que l’on apprend de la jeunesse, que l’on s’ouvre à la vie, cela vaut le coup.

Elle lit un second texte sur la vieillesse » effets spéciaux » à un moment où elle était malade. Elle se demandait alors ce qu’elle devait faire avant de mourir.

Elle déclare : « j’aime pas le malheur, j’aime que le bonheur ».

La troisième partie (de 28’31’’ à la fin): cours de yoga dans une salle avec professeurs (ce ne sont que des femmes).

 

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