Retour à Istanbul [19358]
1966 précisément | Raymond ETHES | Henriette ETHES
Contribuez !Film amateur
Sur les traces du héros du roman de Claude Farrère, "L'homme qui assassina".
Documentaire de voyage et roman illustré... Les deux genres qui caractérisent ce court-métrage tourné en 3 jours, d'après des extraits de "L'Homme qui assassina" de Claude Farrère, interprétés ici par Raymond Ethès, sur la musique de Ravel : "Pavane pour une infante défunte".
Ecrit en 1906, ce récit d'un homme à la recherche de la femme qu'il a aimée est ici mis en images et actualisé. Un mois de voyage en voiture fut nécessaire pour relier Istanbul. Ils y filmèrent les grands lieux comme le Pont de Galata, la Mosquée et le cimetière d'Eyoub (où Pierre Loti écrivit). Ils captèrent aussi la vie dans les ruelles et sur les places publiques, les vieux métiers comme les portefaix et l'agitation de la circulation automobile : les Cadillac souvent nombreuses sont des taxis communautaires, les "dolmus". Les Ethès remerciaient souvent les autochtones qui se prenaient au jeu de la caméra par le don d'un paquet de Gauloises dont les Turcs raffolent.
Documentaire de voyage et roman illustré... Les deux genres qui caractérisent ce court-métrage tourné en 3 jours, d'après des extraits de "L'Homme qui assassina" de Claude Farrère, interprétés ici par Raymond Ethès, sur la musique de Ravel : "Pavane pour une infante défunte".
Ecrit en 1906, ce récit d'un homme à la recherche de la femme qu'il a aimée est ici mis en images et actualisé. Un mois de voyage en voiture fut nécessaire pour relier Istanbul. Ils y filmèrent les grands lieux comme le Pont de Galata, la Mosquée et le cimetière d'Eyoub (où Pierre Loti écrivit). Ils captèrent aussi la vie dans les ruelles et sur les places publiques, les vieux métiers comme les portefaix et l'agitation de la circulation automobile : les Cadillac souvent nombreuses sont des taxis communautaires, les "dolmus". Les Ethès remerciaient souvent les autochtones qui se prenaient au jeu de la caméra par le don d'un paquet de Gauloises dont les Turcs raffolent.
