RIA D'ETEL
QUAND LE DIALOGUE S'ÉLARGIT
Début : Jean-Noël Yvon, ostréiculteur sur son bateau avec son chien, explique la situation de la Ria d'Etel régit par le régime des marées, la spécificité de la barrière d'Etel (vagues déplacent ce banc de sable d'où particularité de goût des huîtres). L'influence des rapports de force de la rencontre eau de mer et eau douce sur les animaux vivants "garde-manger" de ce milieu marécageux : la multiplication du phytoplancton entre autre est décrite par Pierre Mollo, écologue.
Louis Hervé agriculteur et maire présente la Ria.
La qualité des eaux de la Ria permet même de voir le plancton à l’œil nu. Ostréiculteurs et agriculteurs doivent coopérer car la terre nourrit la mer et inversement.
Les ostréiculteurs ont eut des difficultés à trouver la source de la pollution au départ car il n''existait aucune relation entre agriculteurs et ostréiculteurs. Méconnaissance des écosystème de la part des agriculteurs. Méconnaissance des épandages et autres pratiques de l'agriculteur de la part des ostréiculteurs. Les marins-pêcheurs se trouvent en bout de cette chaîne car tout fini par la mer. Découverte du vocabulaire technique de l'une et de l'autre des activités.Il s'agit de traiter le problème dans sa globalité.
Marcel Le Rouzic, agriculteur, pointe le problème de l'épandage qui cause des soucis bactériologiques dans le bassin versant et parle d'assainissement collectif.