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Survivre en temps de guerre, le quotidien de Brestois [43642]

Film amateur | Bretagne

Ce film est un montage d'archives issues d'un corpus analysé et travaillé par les étudiants Enora Benon, Ludine Berry, Léo-Pol Sellin et Anaïs Sequin dans le cadre d'un projet tutoré pour le Master Patrimoine et musée de l'Université de Bretagne occidentale. Il est enrichi du dossier pédagogique Visages et récits des libérations en Bretagne

Les extraits utilisés dans le film sont à titre d’illustration et ne reflètent pas toujours fidèlement les lieux mentionnés. Seul le propos historique est authentique.

Ce film est un montage d'archives issues d'un corpus analysé et travaillé par les étudiants Enora Benon, Ludine Berry, Léo-Pol Sellin et Anaïs Sequin dans le cadre d'un projet tutoré, faisant partie du dossier pédagogique Visages et récits des libérations en Bretagne.
 
Le siège de Brest, qui s'est déroulé du 7 août au 18 septembre 1944, représente une période tragique pour les quelques civils restés dans la ville. La majorité d'entre eux avait quitté Brest avant la dernière bataille, mais certains ont choisi de ne pas fuir. Leur quotidien était marqué par un confort minimal et le constant danger de mourir sous les bombardements, d’où le besoin de s'abriter définitivement dans les abris. Cette période coïncide avec la fin de la guerre, marquée par la reddition du général Ramcke le 19 septembre 1944.
 
À Brest, la Libération n'a pas été synonyme de fête. Elle a plutôt révélé une ville dévastée par les bombes, détruite à 75%. Très peu de civils ont survécu à cette bataille, en raison des bombardements incessants, de la propagation de maladies, des conditions de vie insalubres et de la perte de 371 civils dans l'incendie de l'abri Sadi Carnot, parmi lesquels figuraient des personnalités importantes pour le fonctionnement de la ville, comme le maire, ainsi que des membres du personnel médical, tels que des infirmiers et des médecins. 
En tout, près de 900 personnes ont perdu la vie lors de ce siège, incluant des Brestois (dont certains sont toujours portés disparus) et 500 soldats allemands, tchèques et polonais de l'Organisation Todt.
À Brest, la Libération est marquée par la tristesse et le silence, plongeant la ville dans un deuil profond en raison des proches perdus. Elle s'accompagne également du lourd devoir de reconstruire la ville, réduite en ruines.
 
L'histoire des témoins
 
Georges-Michel Thomas
Georges-Michel Thomas est né le 15 février 1913 à Brest. Avant la guerre, Georges-Michel Thomas est étudiant à partir de 1931 à l'école normale d'instituteurs de Quimper. Il devient instituteur en 1934 à Locmélar, puis à Landivisiau en 1936. Il se marie en juillet 1937 à Saint-Derrien avec une institutrice. Il fut un pionnier du développement de la pédagogie moderne, une méthode favorisant l'épanouissement des élèves.
En 1939, il est secrétaire départemental du comité de défense laïque et de la section socialiste de Landivisiau.
 
Durant l'Occupation, Georges-Michel Thomas s'engage activement dans la Résistance en tant que lieutenant des Forces Françaises de l'Intérieur (FFI). En 1944, il devient secrétaire du comité local de Libération et prend également en charge le secrétariat de l'union locale CGT, bien qu'il ne renouvelle pas ses liens avec le Parti socialiste. Il devient conseiller municipal à Kergloff en tant que socialiste indépendant.
Georges-Michel Thomas dirigea le journal L'Action laïque du Finistère et avait la charge, depuis fin 1944, du Bulletin de la section départementale du Finistère du Syndicat national des instituteurs, dont il était secrétaire adjoint.
 
Après la guerre, il fut délégué départemental pendant plusieurs années à la Coopérative de l'enseignement laïc. Il intégrera également l’Institut coopératif de l'école moderne à partir de 1947. Il rédigea 22 brochures de la Bibliothèque du travail et dirigea et élabora la publication d’au moins 14 numéros de la revue entre 1948 et 1956 sur des sujets concernant la Bretagne.
Il continua ensuite sa carrière d'enseignant, d'abord en tant qu'instituteur à Quéménéven, puis, en 1953, professeur dans un cours complémentaire devenu CEG, avant de devenir sous-directeur d’un Collège d'enseignement général à Brest en 1966 jusqu'en 1969. Il fut également secrétaire pédagogique et collaborateur de L’École libératrice entre 1952 et 1956.
Enfin, il siégea au Conseil d'Administration de la MGEN du Finistère de 1959 à 1973 et participa activement pendant plusieurs années à l'Union mutualiste du Finistère, à la « Mutuelle accidents élèves » et à la « Solidarité du Finistère ».
 
Georges-Michel Thomas occupa plusieurs fonctions importantes : il fut correspondant du Comité d'histoire de la Seconde Guerre mondiale, de l’Institut national démographique, secrétaire de la Société archéologique du Finistère, et secrétaire général de la Société d'études de Brest et du Léon. Il présida également la commission départementale pour l’inventaire des monuments historiques et collabora au Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français.
 
Il fonda et dirigea plusieurs publications, dont Landi-Éclair en 1944, L'Action laïque du Finistère de 1946 à 1948, et Les Cahiers de l’Iroise de 1954 à 1991, revue qu'il présida à partir de 1980. Il publia en 1942 une plaquette intitulée Notes d'histoire locale, Landivisiau fille du Léon et écrivit et collabora sur bien d'autres ouvrages.
 
Il fut un historien reconnu de la Résistance et de la Seconde Guerre mondiale dans le Finistère. À son décès, des articles en son hommage furent publiés dans Les Cahiers de l’Iroise et son nom fut attribué à l’Institut universitaire de formation des maîtres tant il avait contribué activement dans le domaine de la culture et de l’enseignement.
 
Georges-Michel Thomas décède le 14 février 1991 à Brest.
 
Louis Prevosto
Louis Prévosto est né le 18 juillet 1911 à Brest.
Il épouse Marie-Thérèse Gautret le 22 avril 1938 à l'église Saint-Martin de Brest. De cette union, naîtra un enfant, Pierre Prévosto.
Durant la guerre, Louis Prevosto fait partie de l’équipe des Auxiliaires de la défense passive (ADP).
Il participe au ravitaillement des habitants de la ville de Brest, contribuant à nourrir la population de 1941 jusqu’au siège de la ville. Cependant, son épouse, Marie-Thérèse, décède le 1er avril 1944. À la Libération, Louis a 33 ans.
Louis se marie une seconde fois avec Odette Jeanne Marie Henriette Gautret le 28 décembre 1945 à Plougonvelin, ils auront par la suite dix enfants.
Après la guerre, il devient entrepreneur du bâtiment.
 
Louis Prévosto décède le 20 juillet 1992 à Brest à l'âge de 81 ans.
 
Léontine Drapier-Cadec
Léontine Marie Drapier-Cadec est née en 1895 à Irvillac.
Fille d’institutrice, elle fait ses apprentissages en tant qu’institutrice à l’école primaire supérieure de Quimperlé puis à l’école normale de Quimper. Elle fut institutrice et obtint le poste de direction à l'école des filles à Irvillac. Elle rencontre Charles Drapier en 1913, également instituteur à Irvillac, et ils se marient le 15 juillet 1916. De leur union naîtront deux enfants : Léontine, surnommée tendrement "Peluche" (de son vrai nom Hélène), et "la Renarde". Des sobriquets se voulant plaisants et évocateurs.
Durant la guerre, Léontine et Charles restent à Brest et survivent aux bombardements. Son école ferme et est dévastée par les bombes. Sa nièce de 20 ans décède lors du drame de l’abri Sadi Carnot. Le 14 août 1944, Léontine quitte Brest un temps, suit tout un périple et traverse la zone libre pour retrouver sa fille aînée (la Renarde) à Nîmes.
Son neveu Jean Drapier était dans la Résistance.
 
C’est dans les années 1950 qu’elle se fait connaître sous le nom de Drapier-Cadec, lorsqu’elle commence à écrire ses ouvrages.
Charles décède le 8 octobre 1965, sans doute d’une maladie liée aux mauvaises conditions de vie durant la guerre.
 
Au cours de sa vie, Léontine Drapier-Cadec a écrit six ouvrages : Kervez ce Paradis, qui a reçu le Prix des Provinces françaises, raconte une histoire de village à l’heure allemande ; Comme il faisait beau temps ; Mémoire d’une skoléres ; Rue de Madagascar ; Recouvrance des Souvenirs, préfacé par un prix Goncourt ; et enfin Léna et autres récits. Elle a également publié de petites histoires dans Les Cahiers de l’Iroise.
 
Elle obtient la distinction de chevalier des Arts et des Lettres. L'école primaire publique d'Irvillac, une rue de Plougastel-Daoulas et une place du Quartier des Capucins à Brest portent son nom. Également, à Brest, au 170 de la rue Anatole-France, à l'entrée du groupe scolaire des Quatre-Moulins, une fresque représente Léontine Drapier-Cadec devant une affiche pédagogique sur le cacao.
 
Léontine Drapier-Cadec finit sa vie à Saint-Yvi, où elle décède centenaire le 14 juin 1995.
 
Bernard Holley
Bernard Holley est né le 22 mai 1924.
Au début de la guerre, il n’a que 15 ans. À 18 ans, appelé dans la Défense passive, Bernard entre brutalement dans l’âge adulte. Il est engagé en tant que secouriste pour les ambulances de la Croix-Rouge française, qui se trouvaient à l'hôpital Ponchelet. Mais à quelques jours de la Libération, alors qu’il part en mission, le secouriste est touché par une balle perdue.
Après s’être remis de ses blessures, il s’engage à la deuxième division blindée de Rambouillet pour continuer la guerre.
 
Après la guerre, Bernard Holley fixera sur ses pellicules le film muet de la reconstruction, puis s’engagera dans la vie municipale et communautaire.
 
À partir de 1983, il milite pour le mémorial du Fort Montbarey. Bernard Holley décède le 16 janvier 2012 à 87 ans à Brest.
 
Félix Perchoc et Jean Mellaza

Félix Perchoc est né le 8 mars 1924 à Landunvez. Jean Mellaza est né en 1924.

Le 16 août 1944, Jean Mellaza se trouve à Trézien. Félix Perchoc, quant à lui, se trouve sur les lieux avec son patron dans un village voisin et protége les fermes contre les incendies de l’ennemi.
Trézien est un village où se trouve un regroupement d’une trentaine d’hommes des FFI (Forces Françaises de l’Intérieur). Suite à une descente allemande, les FFI prennent la fuite. Les Allemands installés à Trézien mettent le feu à trois maisons, prennent 22 otages et les déplacent au Conquet. Durant la marche, les otages subissent de multiples violences de la part des Allemands. Arrivés à la batterie de Kerangal, les otages sont face au peloton d’exécution, prêts à être fusillés. Félix Perchoc et Jean Mellaza font partie de ces otages.
Cependant, la baronne de Taisne, présidente de la Croix-Rouge locale et épouse du président du Conseil départemental du Finistère entre 1943 et 1945, ainsi que sa fille, se rendent au Conquet à vélo et parviennent à sauver du peloton d’exécution les otages de Trézien en faisant passer une lettre de protestation au commandement allemand. Les otages sont alors sauvés d’une fusillade.
 
Pour autant, ils sont détenus dans les blockhaus de la batterie dans des conditions très difficiles (sans eau, nourriture, ni lit). Le lendemain, les otages, yeux bandés, sont parqués dans des camions et conduits au château de Brest, dans une cellule au-dessus de la voûte de la Tour du Paradis. Ils y restent entre 4 et 5 jours.
 
Le 5e jour, entre le 20 et le 22 août 1944, on leur apporte une gamelle d’eau trouble accompagnée de pain moisi. C’est leur premier repas depuis le début de leur captivité. À la fin de ce même jour ils passent devant le tribunal où l’interrogatoire se fait sans violence.
 
Ils sont ensuite placés dans une cellule et subissent dès lors le traitement de prisonniers et non plus de terroristes. Ils disposent de matelas, de draps dans une chambre, avec accès à un abri du château en cas de bombardements.
 
Félix Perchoc et Jean Mellaza sont restés 10 jours au château jusqu’à être relâchés, prouvant leur innocence. Ils restent cependant à Brest pour réaliser des corvées au sein de l’Abri Sadi Carnot, pour le déblaiement des maisons brûlées, pour ramener des blessés qui étaient restés sous les décombres en ville lors des bombardements et pour l’enterrement des corps dans les cimetières.
 
Jean Mellaza est décédé le 15 juin 2000 à 76 ans. Félix Perchoc est décédé le 23 décembre 2002 à Brest à l'âge de 78 ans.
 
Alexis Corre
Alexis Louis Marie Corre est né le 15 décembre 1915 à Plougastel-Daoulas.
Il est mobilisé en 1939 pour servir lors de la campagne de France. En 1940, à 25 ans, il est étudiant en 7ème année de médecine et interne aux hôpitaux de Brest. En 1941, il échappe miraculeusement aux bombardements et à la destruction des hospices civils.
 

Il devient ensuite médecin spécialiste en dermatologie et vénérologie et médecin de la défense passive jusqu’au dernier jour du siège de Brest. Il préparait une thèse de médecine sur les maladies vénériennes. Il se marie avec son épouse durant la guerre.

En 1942, il rejoint le réseau de résistance Cohors-Asturie grâce à son futur beau-père qui y était membre. Ses missions consistaient à recueillir des renseignements par les prostituées puis à les transmettre aux réseaux Cohors-Asturie et Libération Nord.

 

Suspecté d'être résistant par les agents allemands, il fuit Brest et entreprend un périple, en passant par des détours à pied et par le chemin de fer avec son épouse pour rejoindre Camaret. Dénoncés, ils partent jusqu’à Saint-Guénolé à Penmarc’h.

 

Les Allemands se sont aperçus que la gestion de la prostitution à Brest devenait impossible sans le travail d’Alexis Corre. Ils contactent alors Pierre Trouillé, le Sous-préfet de Brest, pour retrouver Alexis Corre. Sous son instance, il revient travailler à Brest. La Gestapo l’a tout de même interrogé nuit et jour sans recourir aux sévices. Il réussit à cacher son adhésion à la Résistance. Les Allemands le placent sous surveillance jusqu’au siège et menaçaient de prendre en otage sa femme et son fils s’il quitte Brest.
 
Après la Libération, Alexis Corre a fait partie du groupe de médecins, secouristes et administrateurs chargé de la gestion des corps et de l'identification des cadavres des victimes de l'explosion de l'abri Sadi-Carnot. Également, après le siège de Brest, Alexis Corre a été mobilisé au sein de la troisième région militaire en tant que médecin-chef réserviste à Rennes.
 
Il obtiendra ensuite la médaille de vermeille pour son courage et son dévouement. 40 ans plus tard, il sera ravi de recevoir la Légion d’honneur.
En hommage au Docteur Alexis Corre, une rue de Brest porte son nom. Alexis Corre décède le 2 mars 2001 à Brest, à l'âge de 85 ans.

Paul Carquin
Paul Carquin est né en 1923.
Ancien pompier volontaire et membre de la Défense passive pendant la guerre, il fut l’un des premiers à découvrir, de l'extérieur, le drame de l’abri Sadi-Carnot. Ce passage lui a valu des traumatismes toute sa vie. Environ 900 personnes y perdirent la vie, comprenant des Brestois, des Allemands de l’Organisation Todt, des soldats parachutistes allemands et des familles russes.
 
Durant la guerre, en plus de porter secours aux nombreux blessés, il servait de précieux agent de liaison aux Alliés. Avec son père, le lieutenant-commandant Charles Carquin, ils avaient rendez-vous chaque matin à 11h00 avec le maire, Victor Eusen, pour transmettre le rapport de la journée sur l’état de la ville et l’évolution des missions des pompiers.
 
Accompagné de deux pompiers allemands, Paul Carquin, 23 ans, est désigné le lendemain pour entrer dans l’abri et éteindre le feu. Il progresse à tâtons dans la pénombre sous une forte chaleur, parmi de soudaines explosions de balles et de grenades. Au fur et à mesure de son avancée, sur le sol, gît le restes de cadavres déchiquetés et carbonisés.
« Épouvanté par cette vision, je ferme les yeux. Un pompier allemand lâche sa lance à incendie et s'enfuit. Après un moment de stupeur, je la ramasse et m'avance vers le feu pour surmonter mon effroi.

Nous pataugeons dans un liquide sanguinolent qui brûle les pieds à travers les bottes, suffoquant dans la fumée et l'horrible odeur de chair brûlée. »

Ses mots raisonneront toute sa vie : « Ne pas oublier. »

Après la guerre, en 1947, Paul Carquin se marie. Cette même année, il est l’un des premiers secouristes des victimes de la tragédie du cargo norvégien Ocean Liberty. En retraite, toujours tourmenté par ces tragiques événements, il témoigne dans les salles de classe auprès des plus jeunes « pour ne pas oublier ce que l'on doit aux gens des générations précédentes ».
 
Paul Carquin était président d'honneur de la section des anciens de l'Amicale des sapeurs-pompiers de Brest.
Paul Carquin décède le 3 janvier 2013 à 89 ans.

 

Jean Gay
Pendant la guerre, Jean Gay est à Brest au domicile familial jusqu'en 1941. Il part faire ses études dans la capitale, revenant à chaque vacances.
 
En 1944, juste avant la Libération, il reçoit des renseignements par la radio de l'état désastreux de Brest. Inquiet pour sa famille, il décide de quitter Paris fin août 1944 pour retrouver ses proches.
 
À bicyclette, il rejoint Brest en une petite semaine. Il essait de retrouver sa famille grâce à ses relations. Il a retrouve tout d’abord sa mère à Ploudalmézeau, puis, le 5 septembre, son frère, qui s’était réfugié dans une ferme.
Ensuite, le 9 septembre, Jean Gay et sa famille apprennent la catastrophe de l’abri Sadi-Carnot où son père y a perdu la vie.

François dit "Francis" Hendrycks
François Francis Hendrycks est né le 28 août 1924 à Brest.
Il est le fils d'Arthur dit « Tutur » Hendrycks, ancien sapeur-pompier de Brest et coureur cycliste.
 
En 1944, à 20 ans, il rentre clandestinement dans Brest et retrouve sa famille.
 
Après la guerre, il devient menuisier. Tout comme son père, il reprend le flambeau et devient une figure brestoise du cyclisme.
Il se marie avec Christiane Paule Françoise Map.
 
François Hendrycks a œuvré durant plusieurs années au sein de l’association UCB (Union Cycliste Brestoise), où il entraînait et conseillait les jeunes coureurs. Il a également participé à l’organisation de la Flèche Finistérienne et d’autres courses.
 
François Hendrycks décède le 21 février 2019 à l'âge de 94 ans à Brest.



 




 
 

 

 

 



 

 


 


 


 


 


 


 



 

 


 

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