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      • Projecteur 16 mm type EX 2000A Super de marque Eiki

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      • Le nom « EIKI » a été créé par l’association phonétique des mots japonais « image » et « machine ». Ce qui donne en anglais « A-Key » qui compose ensuite le slogan « A-key to better communication » (« La clé d’une meilleure communication »).
         
        Les fondateurs : M. Matsuura, S. Yagi, K. Sekino, Y. Minagawa.
         

        Fondée en 1953 à Osaka (Japon), pour fabriquer de la technologie destinée à l'instruction en salles de classe, Eiki Industrial Co. Ltd. s'est vite aperçue qu'elle possédait une expertise spéciale dans l'ingénierie de projecteurs à films 16mm et s'est mise à l'œuvre afin de fabriquer le meilleur équipement de manutention de films pour salles de classe grâce à un processus d'amélioration continuelle.

        La Compagnie EIKI est responsable de plusieurs percées innovatrices dont la plus importante est probablement la modularisation des projecteurs 16 mm. Depuis leur conception, les projecteurs devenaient non seulement plus sophistiqués mais aussi de plus en plus compliqués et coûteux à fabriquer et à maintenir. La plupart des manufacturiers considéraient cette technologie "mature". Sauf EIKI.

        Caractéristiques Techniques :
         
        Niveau lumineux : 1700 lumens
        Lampe au Xénon 300 w
        Lecture son optique et magnétique
        Chargement automatique ou manuel
        18 et 24 images/seconde
        Lecture son par cellule Solar
        Objectif de haute définition à grande ouverture 1 : 1,3/50 mm
        Dimensions 24 x 41 x 37 cm

        À partir de concepts simples, les ingénieurs de EIKI ont conçu un projecteur utilisant environ la moitié des pièces mobiles d'un projecteur moderne et ont placé 80% de ces pièces mobiles dans 4 modules (sous-assemblages). Le résultat est un projecteur coûtant moins cher à fabriquer, beaucoup plus fiable et plus facile à réparer que tout autre.

        Cette recherche de la qualité a amené EIKI à devenir le plus gros vendeur de projecteur 16 mm au monde et fut le point tournant de la compagnie. Une nouvelle usine fut construite avec le concept modulaire en tête permettant une augmentation de la productivité. Simultanément, un réseau sophistiqué des ventes fut établi au Japon et une infrastructure d'exportation fut conçue afin d'assumer la distribution mondiale.

        En 1974, EIKI créait Eiki International, Inc. pour distribuer ses produits aux États Unis. En 1986, la Compagnie achetait la division affaire de Bell & Howell, une firme ayant fait ses débuts dans l'industrie audio-visuelle quelques 50 ans auparavant. En 1988, EIKI CANADA fut créée comme filiale de Eiki International, Inc.

        Vers la fin des années 80, de concert avec plusieurs partenaires technologiques, EIKI innovait dans la technologie de la projection vidéo par LCD et, dès le début des années 90, EIKI était l'une des deux seules marques de projecteurs vidéo vendues dans le monde entier. De nouveau, au milieu des années 90, les projecteurs LCD de marque EIKI pavaient la voie vers la projection d'images d'ordinateur avec certaines unités parmi les plus puissantes disponibles.

        En 1995, EIKI Allemagne, GmbH. devenait le premier bureau européen appartenant à la Compagnie et dédié au marché allemand. En 1997, la création de EIKI Czech permet d'établir un réseau de revendeurs pour desservir toute l'Europe Centrale ainsi que l'Europe de l'Est. Aujourd'hui, l'équipement de projection de marque EIKI est disponible dans tous les pays principaux du monde.

         
        Film et Culture : quelques notes historiques
         
        Le 9 juillet 1956, Film et Culture est créée, à l’initiative de Joël Bellec et de François Roche. Son but : « promouvoir, soutenir, favoriser toutes les initiatives susceptibles de diffuser la culture cinématographique dans tout groupement éducatif ». Le premier président est M. Kermorgant, Brestois bien connu pour ses nombreuses responsabilités associatives.
        En 1946 a été créée une Fédération nationale, la F.L.E.C.C. (Fédération Loisirs Et Culture Cinématographique), qui s’occupe de promouvoir le cinéma dans les régions en organisant des séances de ciné-club, en allant dans les établissements primaires et secondaires projeter des films et en discuter. En adhérant à la F.L.E.C.C., l’association bénéficie des facilités d’obtention de films et du réseau d’établissements d’un organisme qui possède un vaste circuit d’initiation au cinéma dans la France entière. On doit y ajouter les brillants stages de formation dont les plus anciens animateurs ont un souvenir ébloui et le grand intérêt de la revue « Télé-Ciné » avec des signatures telles que : Henri Agel, Jean Collet, Gilbert Salachas (de Télérama), Claude-Jean Philippe (Ciné-Club de France 2), Jean d’Yvoire, etc.
        Devant l’ampleur de la tâche à accomplir, François Roche embauche successivement Roger Mével, Paul Guyard, Jean Simon, Jacques Lumeau, Christian Hermelin et quelques autres. François Roche quitte Film et Culture en 1960 pour organiser la délégation régionale de la F.L.E.C.C. à Bordeaux. A son départ, l’association compte une dizaine de salariés dans le Finistère et le Morbihan. C’est Christian Hermelin qui prend la direction de l’association. Ce n’est qu’en 1967 que le département des Côtes d’Armor sera « couvert » notamment par Bernard Vitre, Joseph Carfantan.
         
        En 1961, l'association compte 30 000 adhérents. Au cours des années 60 et 70, l’activité de Film et Culture bat son plein. Il y aura à cette époque plus de 40 000 adhérents. La douzaine d’animateurs (il y en aura jusqu’à 17), propose des films ciblés aux écoles, collèges, lycées. Le cinéma est, depuis le départ, et reste plus que jamais la base de l’activité de Film et Culture. L’Affaire Cicéron, Alexandre Nevski, L’Année dernière à Marienbad, Au Hasard Balthasar, La Ballade du soldat, La Belle et la Bête, Le Carrosse d’or, Le Cuirassé Potemkine, Electre, Les Fraises sauvages, L’Ile nue, Jour de fête, Le Journal d’un curé de campagne, Los Olvidados, La Strada, Les Temps modernes, Viva Zapata, Le Voleur de bicyclette ont été parmi d'autres des films marquants de la programmation. A la même époque, les animateurs travaillent également la chanson, le jazz, la peinture, la photographie, la publicité, la presse, la télévision.
         
        L’association crée également à l’école avec l’aide des animateurs de Film et Culture : des photos, pour l’analyse d’image, des séquences photo, pour la narration, des grammaires de l’image en photos, des films 8mm et super 8 (plus de 400 films sont tournés certaines années), des spots publicitaires, des journaux télévisés, des polars, des farces ; des caméras vidéo remplaceront les contraignants super 8. Film et Culture crée aussi des bandes dessinées, des romans-photos, des affiches.
         
        La présence de Film et Culture dans le milieu scolaire a permis à bon nombre de jeunes élèves de se familiariser avec l’audiovisuel présent partout dans notre société. En 1988 Film et Culture coupe le cordon ombilical avec la F.L.E.C. pour s'affilier à l'UFOLEIS, sans changer de disposition sur le plan culturel.
         
         
        Découvrez le film Le pain quotidien réalisé par Film et Culture : 
        Le pain quotidien

         

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